novembre 2025
Georges Chabloz est propriétaire d'un immeuble locatif de 12 appartements. Si aujourd'hui le bâtiment ne connaît pas de problèmes majeurs de ruissellement, la configuration particulière des lieux représente un risque qu'il a décidé de ne pas ignorer.
Un risque identifié : une cour en contrebas
La particularité de cet immeuble réside dans sa cour intérieure, située plus bas que le niveau de la route. En cas de fortes précipitations, cette configuration pourrait transformer la cour en véritable bassin de rétention. L’eau pourrait alors s’accumuler et menacer les caves où les locataires entreposent leurs biens.
Face aux prévisions climatiques et aux événements observés ces dernières années, Georges Chabloz a pris conscience de la nécessité d’agir de manière préventive. Mieux vaut anticiper qu’attendre qu’une catastrophe se produise.
Une solution de prévention adaptée
Suivant les recommandations de l’ECAP, Georges Chabloz a mandaté un ingénieur pour étudier les solutions de protection adaptées. Le choix s’est porté sur l’installation d’une cloison pliante automatique en haut de la rampe d’accès à la cour inférieure.
Ce système se déploie automatiquement et forme une barrière de 40 cm de hauteur, empêchant l’eau de pénétrer dans la cour. Pour garantir une protection complète, le mur d’enceinte de la cour a également été surélevé de la même hauteur, évitant ainsi toute infiltration par l’extérieur.
L’ECAP a joué un rôle informatif dans cette démarche en sensibilisant le propriétaire aux risques liés à la configuration de son bien. Le programme « Pas dans ma maison » l’a encouragé à prendre des mesures préventives adaptées, avant que le problème ne devienne réalité.
L’espoir d’une protection inutilisée
Georges Chabloz l’exprime avec franchise : il espère que ces aménagements seront efficaces, mais il préférerait encore plus ne jamais avoir à les utiliser. Une protection efficace, c’est aussi celle qui rassure sans jamais avoir à servir